Question ...

« Figaro, c'est moi », aurait pu dire cet homme, plus connu sous le nom de Beaumarchais. En effet, il eut une vie aussi mouvementée que son héros de barbier.

Réponse ...

1770 fut une année difficile : cette pièce n'était pas bien accueillie; l'héritier de Pâris-Duverney le traduisait devant la justice; il perdait sa seconde femme, le 4 novembre; et, peu de temps après, les parents de sa première épouse le traînaient en justice.

Réponse ...

Au début de la Révolution, il habitait un fastueux hôtel, encore en construction, tout près de ce monument.

Réponse ...

C'est un opéra de Salieri sur un livret de Beaumarchais, créé à Paris le 8 juin 1787

Réponse ...

Beaumarchais fut chargé par le gouvernement révolutionnaire d'acheter des fusils en Hollande, le bruit courut qu'il cachait des armes chez lui: sa maison envahie, il fut enfermé, cette fois, à l'Abbaye, le 23 août 1792 (entre-temps, en juin, il avait fait jouer cette pièce, par le théâtre du Marais).

Réponse ...

Ce procureur de la Commune de Paris, le fit libérer le 30 août, juste à temps pour éviter d'être massacré en septembre 1792 avec les autres prisonniers

Réponse ...

Déclaré émigré en juillet 1794, sa femme, sa fille, sa sœur furent arrêtées. Beaumarchais vécut alors pauvrement dans cette ville, jusqu'à son retour à Paris au début juillet 1796.

Réponse ...

En avril 1764, Beaumarchais partait à Madrid, pour affaires et pour défendre l'honneur d'une de ses soeurs, à qui cet écrivain avait promis le mariage.

Réponse ...

Épuisé, devenu sourd, Beaumarchais s'éteignit dans cette ville, le 18mai 1799.

Réponse ...

Fils d'horloger et horloger lui-même, Beaumarchais enseigna la harpe aux filles de ce roi puis travailla dans le monde de la finance et des affaires où ses spéculations et ses procès sont demeurés célèbres.

Réponse ...